La rénovation de l'oratoire du Col de la Forclaz s'achève ! La sculpture de Pierre Athurion représentant St Roch a pris place dans l'alcôve, redécorée dans le style de ce qui existait avant 1975.
La dernière touche consistera à démonter les panneaux du clocheton pour les repeindre et remplacer la corde pour sonner la cloche. L'AMEP souhaite remercier les montminois et amis qui ont participé au projet et aux donateurs privés qui nous ont financé. L'AMEP est une association loi 1901 à but non lucratif qui a pour vocation la sauvegarde du patrimoine et de l'environnement, ainsi que l'amélioration du cadre de vie dans les villages de Montmin. |
L'Oratoire du Col de la Forclaz, dit de St Roch.
Projet de rénovation 2013/2014.
En juillet 1979, les barreaux de la grille de l'oratoire ont été coupés, la sculpture volée. Par la suite, en 1983, les mêmes barreaux ont reçu des paumelles soudées pour ménager un portillon d'accès. L'abbé Ours, curé de Montmin et Giez avait entrepris de remplacer cette disparition par une nouvelle sculpture. Il contacte le sculpteur Pierre Athurion de Doussard lui demandant de réaliser une sculpture. Ernest Rulland, alors propriétaire de l'hôtel Edelweiss, en assura le financement.
La sculpture installée, on ferma la grille avec un cadenas dont personne ne savait où était la clef !
Depuis, le poids du temps a pesé sur la structure et elle requiert la bonne volonté de quelques uns pour procéder à une rénovation.
Plusieurs étapes :
L’élagage total des fayards dont l’enracinement menace la fondation de l’oratoire,
Le dé-moussage et le remplacement des tuiles cassées,
Drainage de l'amont et des cotés du bâti,
Un aménagement paysager sur les pentes latérales,
La reprise du décor peint de l’alcôve,
Le remplacement de la sculpture actuelle par une œuvre reprenant les signes distinctifs de St Roch,
Peinture et sécurisation de la grille de l’oratoire,
Implantation d’un tronc pour financer le fleurissement saisonnier.
Si la faisabilité de ce programme se confirme, les premières taches devraient être entamées
à la fin de l’hiver/début printemps et se prolonger suivant les disponibilités de chacun. La fin des
travaux et l’implantation finale de la sculpture pourra faire l’objet d’une cérémonie, à définir.
Le projet est financé en intégralité par des dons, subventions, et le travail des bénévoles. Vous pouvez participer aux dernières tâches en devenant membre de l'association.
Quelques informations ...
Les archives d’époque
concernant l’oratoire sont rares et disséminées entre la Savoie, Turin et Milan et peut-être l'abbaye de Savigny.
En effet, lors de la révolution française, de nombreux documents ont été détruits puis l’annexion de la Savoie par la France en 1864 à sonné l’exode des documents vers l’Italie.
Les archives de l’abbaye de Talloires ont aussi subi un incendie au 19eme siècle.
Ces incidents ont lourdement impacté les documents disponibles aujourd’hui.
Cette absence de traces avant le 17ème siècle nous amène à rapporter des déductions appuyées sur la connaissance des pratiques religieuses répandues au moyen-âge dans l’arc alpin et les pré-alpes qui mélangeaient alors croyance, superstitions et légendes.
Le bâtiment, alors chapelle, aurait été érigé par les bénédictins de Talloires. La date exacte n’est pas définie, mais on pourrait penser que les prieurs de Talloires n’auraient eu les moyens d’une telle construction qu’après la formation de l’abbaye et les dons successifs de terres (et d’hommes !), soit au 13ème siècle.
Le prieuré de Talloires a été fondé au 11ème siècle, puis transformé en 1205 en abbaye. Un document indique que l’abbaye aurait été supprimée en 1783. (1793 ?)
Opinion du chanoine François Coutin, revue salésienne de 1953 : (le chanoine était natif de Montmin)
« Les Bénédictins de Talloires ont entrepris de défricher et rendre arable les terres de Montmin. Ils y auraient donc cheminé via le Col de la Forclaz et tout naturellement implanté les premiers bâtiments (le restaurant la Pricaz -prima casa, première maison- qui subsiste aujourd’hui serait le premier bâtiment à avoir été érigé au Col) ainsi qu’une chapelle ».
Opinion du séminariste (puis archiviste) Roger Devos, 1974 :
« L’affirmation de François Coutin selon laquelle l’oratoire ‘’fut probablement le premier édifice religieux élevé par les bénédictins qui vinrent défricher la paroisse’’ relève de la plus haute fantaisie puisque St Roch est né vers 1337 et que son culte ne se répandit qu’au 15ème siècle comme protecteur de la peste ».
Aucun document étudié n’évoque si la chapelle était alors vouée à un saint ni la date précise de sa construction. Une visite pastorale de l’Evêque Auguste de Sales le 4 juin 1658, signale une chapelle pouvant contenir les habitants du lieu. (mais la mappe Sarde ne matérialise pas de bâtiment religieux style chapelle ou oratoire au village de la forclaz en 1732, peut-être était-elle déjà en ruine?)
Les habitants du village de la forclaz avaient alors fait part à l’Evêque de la nécessité d’un vicaire pour célébrer les offices.
Aucun vicaire n’aurait daigné se déplacer régulièrement jusqu'au col de la Forclaz et la chapelle serait tombée en désuétude. (Les archives du grand séminaire d’Annecy indiquent que les rétributions des feux [familles, foyers] du village ne suffisaient pas à entretenir le curé et un vicaire.)
Les habitants du Col de la Forclaz se rendirent donc à l’église St Maurice du Chef lieu pour les messes.
Non entretenue, la chapelle aurait été réduite en oratoire, seul le chœur subsistant pour abriter une représentation votive et peut-être un clocheton.
En effet, lors de la révolution française, de nombreux documents ont été détruits puis l’annexion de la Savoie par la France en 1864 à sonné l’exode des documents vers l’Italie.
Les archives de l’abbaye de Talloires ont aussi subi un incendie au 19eme siècle.
Ces incidents ont lourdement impacté les documents disponibles aujourd’hui.
Cette absence de traces avant le 17ème siècle nous amène à rapporter des déductions appuyées sur la connaissance des pratiques religieuses répandues au moyen-âge dans l’arc alpin et les pré-alpes qui mélangeaient alors croyance, superstitions et légendes.
Le bâtiment, alors chapelle, aurait été érigé par les bénédictins de Talloires. La date exacte n’est pas définie, mais on pourrait penser que les prieurs de Talloires n’auraient eu les moyens d’une telle construction qu’après la formation de l’abbaye et les dons successifs de terres (et d’hommes !), soit au 13ème siècle.
Le prieuré de Talloires a été fondé au 11ème siècle, puis transformé en 1205 en abbaye. Un document indique que l’abbaye aurait été supprimée en 1783. (1793 ?)
Opinion du chanoine François Coutin, revue salésienne de 1953 : (le chanoine était natif de Montmin)
« Les Bénédictins de Talloires ont entrepris de défricher et rendre arable les terres de Montmin. Ils y auraient donc cheminé via le Col de la Forclaz et tout naturellement implanté les premiers bâtiments (le restaurant la Pricaz -prima casa, première maison- qui subsiste aujourd’hui serait le premier bâtiment à avoir été érigé au Col) ainsi qu’une chapelle ».
Opinion du séminariste (puis archiviste) Roger Devos, 1974 :
« L’affirmation de François Coutin selon laquelle l’oratoire ‘’fut probablement le premier édifice religieux élevé par les bénédictins qui vinrent défricher la paroisse’’ relève de la plus haute fantaisie puisque St Roch est né vers 1337 et que son culte ne se répandit qu’au 15ème siècle comme protecteur de la peste ».
Aucun document étudié n’évoque si la chapelle était alors vouée à un saint ni la date précise de sa construction. Une visite pastorale de l’Evêque Auguste de Sales le 4 juin 1658, signale une chapelle pouvant contenir les habitants du lieu. (mais la mappe Sarde ne matérialise pas de bâtiment religieux style chapelle ou oratoire au village de la forclaz en 1732, peut-être était-elle déjà en ruine?)
Les habitants du village de la forclaz avaient alors fait part à l’Evêque de la nécessité d’un vicaire pour célébrer les offices.
Aucun vicaire n’aurait daigné se déplacer régulièrement jusqu'au col de la Forclaz et la chapelle serait tombée en désuétude. (Les archives du grand séminaire d’Annecy indiquent que les rétributions des feux [familles, foyers] du village ne suffisaient pas à entretenir le curé et un vicaire.)
Les habitants du Col de la Forclaz se rendirent donc à l’église St Maurice du Chef lieu pour les messes.
Non entretenue, la chapelle aurait été réduite en oratoire, seul le chœur subsistant pour abriter une représentation votive et peut-être un clocheton.
La Cloche.
Avant l'hiver, j'ai ouvert le clocheton pour accéder à la charpente et s'assurer de son état. J'en ai profité pour relever les inscriptions de la cloche.
Cette cloche Paccard de 1828 à été "financée" par un parrain et une marraine. Cette pratique était courant à l'époque où certains jeunes adultes quittaient le village pour aller travailler dans les grandes villes et parfois faire fortune. Ils n'hésitaient alors pas à pratiquer une forme de mécénat.
La précédente cloche aura certainement disparu à l'époque de la révolution française, si toute fois le bâtiment en possédait une.
Si quelqu'un reconnait les noms de ces personnes, toute information sera la bienvenue.
J'ai aussi consulté la fonderie Paccard à St Jorioz mais leurs archives ne contiennent rien au sujet de cette cloche.
On peut noter que l'orthographe utilisée diffère légèrement de celle de nos jours, influence du patois, vieux français ou simplement fautes du fondeur?
J’APPARTIENS A LA MAUX DE LA FORCLAZ COMMUNE DE MONTMAIN
PERONT CLAUDE PARRAIN
GARDIER JACQUELINE MARRAINE
FAITE A QUINTAL LE XXVI JANVIER MDCCCXXVIII
PAR CLAUDE PACCARD F D
ST ROCH PRIEZ POUR NOUS
Cette cloche Paccard de 1828 à été "financée" par un parrain et une marraine. Cette pratique était courant à l'époque où certains jeunes adultes quittaient le village pour aller travailler dans les grandes villes et parfois faire fortune. Ils n'hésitaient alors pas à pratiquer une forme de mécénat.
La précédente cloche aura certainement disparu à l'époque de la révolution française, si toute fois le bâtiment en possédait une.
Si quelqu'un reconnait les noms de ces personnes, toute information sera la bienvenue.
J'ai aussi consulté la fonderie Paccard à St Jorioz mais leurs archives ne contiennent rien au sujet de cette cloche.
On peut noter que l'orthographe utilisée diffère légèrement de celle de nos jours, influence du patois, vieux français ou simplement fautes du fondeur?
J’APPARTIENS A LA MAUX DE LA FORCLAZ COMMUNE DE MONTMAIN
PERONT CLAUDE PARRAIN
GARDIER JACQUELINE MARRAINE
FAITE A QUINTAL LE XXVI JANVIER MDCCCXXVIII
PAR CLAUDE PACCARD F D
ST ROCH PRIEZ POUR NOUS
La scultpure.
Nous ne sommes pas en possession d'information sûre de l'origine de la sculpture qui était précédemment dans l'oratoire (avant 1979).
Les documents rassemblés par la conservation des Antiquités et Objets d'Arts aux archives départementales indique une forte probabilité pour que la sculpture volée en été 1979 soit une représentation de Saint Antoine.
Cette représentation est assez courante : St Antoine porte un livre ouvert et un bâton ou une canne. A ses pieds, un petit cochon. On notera que sur la photo il apparaît que la bâton manque ainsi que l'animal qui aurait été accolé dans l'emplacement vide sur le socle, à la droite des pieds. (sur cette photo à gauche)
Certains habitants ont rapporté l'existence puis la disparition de cet animal qu'ils auraient pu assimiler au chien de Gothard, qui accompagne fidèlement St Roch.
Voici en comparaison quelques représentations de St Antoine dans d'autre lieux :
Les documents rassemblés par la conservation des Antiquités et Objets d'Arts aux archives départementales indique une forte probabilité pour que la sculpture volée en été 1979 soit une représentation de Saint Antoine.
Cette représentation est assez courante : St Antoine porte un livre ouvert et un bâton ou une canne. A ses pieds, un petit cochon. On notera que sur la photo il apparaît que la bâton manque ainsi que l'animal qui aurait été accolé dans l'emplacement vide sur le socle, à la droite des pieds. (sur cette photo à gauche)
Certains habitants ont rapporté l'existence puis la disparition de cet animal qu'ils auraient pu assimiler au chien de Gothard, qui accompagne fidèlement St Roch.
Voici en comparaison quelques représentations de St Antoine dans d'autre lieux :
|
De nombreuses représentations du saint nous le montrent accompagné d'un cochon portant une clochette. Il est ainsi parfois appelé en Italie Antonio del porco ou Saint Antoine des Cochons dans la vallée de la Bruche en Alsace. Selon Émile Mâle qui signale que cette tradition date de la fin du 15ème siècle, le cochon n'a rien à voir avec la vie du saint mais avec un ordre religieux fondé en Dauphiné en 1095 (les Antonins) : les porcs n'avaient pas le droit d'errer librement dans les rues, à l'exception de ceux des Antonins, reconnaissables à leur clochette. À noter cependant que les démons qui ont tourmenté le saint ont, dans un premier temps, été représentés par des animaux sauvages (lion, ours, etc.) puis sous la forme d'animaux plus familiers comme le loup et le sanglier, ce dernier pouvant expliquer le lien avec le cochon.(source wikipedia)
Dans les Alpes, St Antoine est bien souvent représenté comme le saint patron des agriculteurs, éleveurs et gens de la terre.
Toutefois, la provenance de la sculpture reste un mystère. Aurait-elle été montée depuis Talloires, provient-elle du don d'un mécène? depuis quand était -elle là?
Il est aujourd'hui encore difficile d'établir comment s'est opéré la transition avec la dévotion à St Roch car la seule date concrète s'y rapportant est sur la cloche : 1828.
Or le culte de St Roch est plus ancien : 15ème siècle, et a connu plusieurs renouveau aux 16ème, 17ème et 18ème siècle, au fil des différentes épidémies de peste ou choléra qui frappaient alors.
Mon hypothèse (que j'aimerais débattre) est que la chapelle du village devait avoir ses représentations habituelles ou un saint et qu'ensuite l'oratoire ait été consacré à St Roch. Mais au fil des temps, la précédente sculpture aurait pu, elle aussi, disparaître.
Une âme charitable l'aurait alors remplacée par une sculpture religieuse (le saint Antoine que nous connaissons) sans forcément savoir quel saint elle représentait...
Dans les Alpes, St Antoine est bien souvent représenté comme le saint patron des agriculteurs, éleveurs et gens de la terre.
Toutefois, la provenance de la sculpture reste un mystère. Aurait-elle été montée depuis Talloires, provient-elle du don d'un mécène? depuis quand était -elle là?
Il est aujourd'hui encore difficile d'établir comment s'est opéré la transition avec la dévotion à St Roch car la seule date concrète s'y rapportant est sur la cloche : 1828.
Or le culte de St Roch est plus ancien : 15ème siècle, et a connu plusieurs renouveau aux 16ème, 17ème et 18ème siècle, au fil des différentes épidémies de peste ou choléra qui frappaient alors.
Mon hypothèse (que j'aimerais débattre) est que la chapelle du village devait avoir ses représentations habituelles ou un saint et qu'ensuite l'oratoire ait été consacré à St Roch. Mais au fil des temps, la précédente sculpture aurait pu, elle aussi, disparaître.
Une âme charitable l'aurait alors remplacée par une sculpture religieuse (le saint Antoine que nous connaissons) sans forcément savoir quel saint elle représentait...
Le nouveau saint Roch.
Dans l'optique de rendre à l'oratoire une représentation de saint Roch plus vraisemblable, c'est tout naturellement que nous nous sommes tournés vers Pierre Athurion, qui sculpte toujours dans son atelier à Doussard.
Le sculpteur nous a alors indiqué qu'il avait déjà dans l'idée de refaire sa sculpture et que du bois avait été sèché pour cela.
Une bille de cèdre.
Pierre à donc entamé au printemps 2013 son travail et nous a tenu informés de son avancement étape après étapes. Voici quelques clichés :
Le sculpteur nous a alors indiqué qu'il avait déjà dans l'idée de refaire sa sculpture et que du bois avait été sèché pour cela.
Une bille de cèdre.
Pierre à donc entamé au printemps 2013 son travail et nous a tenu informés de son avancement étape après étapes. Voici quelques clichés :
Fête des Sept Fontaines : 15 Août 2014, Discours de Pierre Athurion.
Bonjour à tous, Je remercie Monsieur François Chatelain de bien vouloir lire ce que j’aurais aimé vous dire en cette belle occasion. J’ai rencontré Ernest Rulland et Monsieur le Curé Ours par l’intermédiaire de mes parents, alors fromagers, puis agriculteurs à Doussard. Mes parents étaient de fidèles paroissiens et participaient volontiers aux activités de la Paroisse. Ils se connaissaient donc. En 1966, à la suite du décès accidentel de ma sœur Geneviève, mon père a commencé à sculpter le bois et ce faisant, m’a initié à cet art. Ce fut comme un coup de foudre et j’ai immédiatement pris un grand plaisir à travailler le bois avec lui. C’est rapidement devenu une passion pour moi et c’est encore le cas aujourd’hui. J’ai sculpté une première représentation de Saint ROCH en 1979, puis en 1982, j’avais sculpté une représentation de Saint Roch dans mon atelier, pour mon propre plaisir. En visite chez moi, Ernest Rulland et l’Abbé Ours, ont vu cette sculpture et quelque temps plus ils m’ont apporté une photo d’une représentation de la sculpture volée au col de la Forclaz. J’ai donc décidé, en 1990, de refaire cette sculpture à partir d’un billot de bois, le représentant portant un livre. Je leur ai ensuite proposé de choisir une des deux sculptures, l’ancienne et la nouvelle. Ils ont choisi l’ancienne, qui leur convenait mieux, elle est aujourd’hui dans l’oratoire au Col de la Forclaz. Je participe chaque année à la fête des montagnes à Ugine, et à différentes manifestations estivales dans la région Rhône-Alpes. Cette activité extra-professionnelle m’a permis de rencontrer de nombreuses personnes toutes plus intéressantes les unes que les autres. En 2013, avec Jacques Demaison et Gérard Louvet nous nous sommes rendus à l’oratoire pour voir les rénovations en cours, et sur place, en voyant cette ancienne sculpture, je leur ai dit que j’aimerais sculpter un troisième Saint Roch, avec son chien cette fois-ci, et c’est ainsi que je me suis mis au travail, et qu’aujourd’hui nous sommes réunis pour l’inauguration du Saint Roch de l’oratoire. Je suis heureux d’avoir pu le faire et je remercie chacun pour la confiance accordée durant tout mon travail. J’espère que mon travail vous convient et je suis certain que Saint Roch est ici à une belle place. J’espère également qu’il restera ici, pour longtemps ! Je vous remercie pour votre attention. Pierre ATHURION |
Horizon N°172 - Sept 2014
Pour plus d'informations sur les Oratoires et Chapelles de Montmin
http://www.montmin.net/h-orat.html